Passage du Nouvel An

Publié le par Pierre-Yves

Passage du Nouvel An

Fête d’anniversaire, fête des mères, fête des pères, journée de la femme, fête de la musique, fête de la nature, fête des voisins, Saint-Valentin...
Nous sommes tributaires du calendrier pour nous rappeler les choses importantes de notre vie.
C’est à Noël par exemple que les gens font une trêve et se montrent généreux. A Noël toujours, on fête la naissance du Christ, tandis qu’à Pâques on commémore sa résurrection. C’est au passage du nouvel An que les gens veulent prendre de bonnes résolutions, après avoir fait un bilan de leurs vies.

Et dans la foulée, on ne se rend pas compte que c’est Dieu également que nous soumettons à ce rythme calendaire.
Pour preuve, c’est le Dimanche, ou le Samedi, selon la communauté, qui est réservé pour lui offrir un culte. Alors que Jésus disait dans Jean 4 v. 24 que l’adoration à Dieu est au-delà du temps, et en dehors d’un lieu. Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent, l'adorent en esprit et en vérité.


Ce que nous avons tendance à oublier, c’est que derrière le calendrier, se cache des coutumes et des traditions, qui sont des préceptes d’homme. Des coutumes et des traditions qui ont un sens caché, et qui véhiculent un message souvent occulte.

En finalité, l’homme ne réalise pas que ce n’est pas Dieu qui lui dicte sa marche, mais c’est le monde qui lui impose quoi faire, et à quel moment. Pourtant nous savons très bien que le système est sous l'autorité du diable. Nous savons que nous sommes de Dieu, et que le monde entier est sous la puissance du malin. 1 Jean 5 v. 19.

N’y a-t-il pas un mensonge énorme véhiculé par la tradition du Nouvel An ? Celui de croire que l’année va nous apporter la santé, l’amour, la réussite, la joie ou le bonheur.
A quoi servent tous ces vœux de « bonne année », sachant que les jours qui viennent n’annoncent rien de bon ? Jésus dans l’évangile de Matthieu au chapitre 24, nous annonce des événements terribles qui sont à venir, car le diable est aux commandes d’un système qui nous mènent droit dans le mur.


Le monde veut nous faire croire qu’il y a un recommencement au passage du Nouvel An. Pourtant, ce n’est qu’en Christ que l’on peut réellement prendre un nouveau départ.

Cette soumission au calendrier nous soumet par la même occasion aux coutumes et aux traditions d’un monde qui est au pouvoir de l’ennemi.

Publié dans La connaissance

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