Quand la mort frappe

Publié le par Pierre-Yves

Quand la mort frappe

Quand la mort passe, personne ne peut lui résister.

On a beau être dans la fleur de l’âge, posséder un capital santé, ou avoir de bonnes raisons de vivre, on ne peut que capituler devant cet ennemi qui n’est nullement impressionné par notre compte en banque ou notre position dans la société

La mort n’a pas de scrupules, personne ne peut la raisonner ou lui demander de repasser.

Elle frappe partout où il y a la vie, dans les pays en guerre, dans les pays du tiers-monde, au sein des gangs de rue, mais aussi dans les quartiers tranquilles, dans les foyers sans histoires, là où les gens vivent en toute tranquillité.

Lorsque la mort passe, elle surprend toujours par les différentes formes qu’elle peut revêtir.

Dans ces derniers jours, elle est de plus en plus brutale, règlement de compte, attentats, crimes crapuleux...

Il semble également que la mort ne se contente plus de prendre des vies isolées, mais elle multiplie le nombre de ses victimes dans les accidents, les inondations, les tremblements de terre, les catastrophes d’origine humaine, les incendies, et j’en passe.

Le plus terrible n’est pas seulement de savoir qu’on va mourir un jour, mais c’est surtout de ne pas savoir quand.

Face à la mort qui est imprévisible, il n’est pas trop tôt pour faire un bilan de votre vie.

La mort n’est pas une fatalité en soit, mais le plus important est de savoir dans quelles conditions on va partir, ou encore dans quelle direction on ira.

Ne laissez pas la mort vous surprendre dans l’incertitude et le doute face à l’éternité, c’est une question que vous devez régler aujourd’hui de toute urgence.

Publié dans Katchil 1

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