Noël : une idolâtrie

Publié le par Pierre-Yves

Noël : une idolâtrie
De nombreux chrétiens disent qu’ils fêtent Noël en l’honneur du Christ, sans se soucier de l’origine des pratiques païennes qui se cachent derrière Noël.
Ils ne tiennent pas compte de l’origine véritable de cette fête.

Est-ce que cela suffit pour rendre Noël acceptable aux yeux de Dieu ?

1 Rois 12 v. 26 à 29
Jéroboam dit en son cœur : Le royaume pourrait bien maintenant retourner à la maison de David. Si ce peuple monte à Jérusalem pour faire des sacrifices dans la maison de l'Eternel, le cœur de ce peuple retournera à son seigneur, à Roboam, roi de Juda, et ils me tueront et retourneront à Roboam, roi de Juda.
Après s'être consulté, le roi fit deux veaux d'or, et il dit au peuple: Assez longtemps vous êtes montés à Jérusalem; Israël ! Voici ton Dieu, qui t'a fait sortir du pays d'Egypte. Il plaça l'un de ces veaux à Béthel, et il mit l'autre à Dan. Ce fut là une occasion de péché. Le peuple alla devant l'un des veaux jusqu'à Dan.


Noël ainsi que ainsi que beaucoup d’autres coutumes soi-disant chrétiennes, sont comme ces deux veaux d’or. Ce sont des pièges pour empêcher que les hommes n’adorent le Dieu véritable qui nous est présenté dans la bible.
Comme l’avait fait Jéroboam, Satan va utiliser la religion, les coutumes et les traditions pour inciter les gens à l’idolâtrie et les empêcher d’aller à la recherche de la vérité.

Actes 19 v. 23 à 34
Il survint, à cette époque, un grand trouble au sujet de la voie du Seigneur. Un nommé Démétrius, orfèvre, fabriquait en argent des temples de Diane, et procurait à ses ouvriers un gain considérable. Il les rassembla, avec ceux du même métier, et dit : O hommes, vous savez que notre bien-être dépend de cette industrie; et vous voyez et entendez que, non seulement à Ephèse, mais dans presque toute l'Asie, ce Paul a persuadé et détourné une foule de gens, en disant que les dieux faits de main d'homme ne sont pas des dieux. Le danger qui en résulte, ce n'est pas seulement que notre industrie ne tombe en discrédit; c'est encore que le temple de la grande déesse Diane ne soit tenu pour rien, et même que la majesté de celle qui est révérée dans toute l'Asie et dans le monde entier ne soit réduite à néant.
Ces paroles les ayant remplis de colère, ils se mirent à crier : Grande est la Diane des Ephésiens ! Toute la ville fut dans la confusion. Ils se précipitèrent tous ensemble au théâtre, entraînant avec eux Gaïus et Aristarque, Macédoniens, compagnons de voyage de Paul. Paul voulait se présenter devant le peuple, mais les disciples l'en empêchèrent; quelques-uns même des Asiarques, qui étaient ses amis, envoyèrent vers lui, pour l'engager à ne pas se rendre au théâtre. Les uns criaient d'une manière, les autres d'une autre, car le désordre régnait dans l'assemblée, et la plupart ne savaient pas pourquoi ils s'étaient réunis.


Démétrius voyait dans la prédication de l’évangile, un danger pour sa profession. En affirmant que les dieux faits de main d'homme ne sont pas des dieux, c’est le métier d’orfèvre qui risquait d’en prendre un coup. Mais derrière ce manque à gagner, c’est la déesse Diane qui perdrait toute son importance, et c’était le plus grand danger qui semblait planer pour Démétrius.

Noël est une industrie qui fait vivre des millions de gens. Dire la vérité sur la réalité de cette fête païenne est une menace pour de nombreux commerces.
Mais le plus grand danger vient de la connaissance de la vérité qui mettrait à mal le projet du diable qui se nourrit de l’ignorance pour recevoir l’adoration du plus grand nombre.
Les gens sont dans la confusion aujourd’hui, comme à l’époque dans la ville d’Ephèse.
Certains, fêtes Noël sous le prétexte de la naissance de Jésus, d’autres ne voient dans cette fête que les cadeaux et les réjouissances, d’autres encore associent Noël à la fête de la famille, et d’autres encore pour l’aspect commercial et économique.
Les uns cris d’une manière, et les autres d’une autre, il règne un vrai désordre, car en réalité, les gens ne savent pas vraiment pourquoi ils fêtent Noël.
Cependant, le vrai gagnant dans cette histoire, c’est le diable, qui fait prospérer son entreprise, car derrière cette tradition de Noël, se cache l’idolâtrie.

La mise en garde de la parole de Dieu est pourtant claire : « N’imitez pas la voie des nations ».

Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. » Matthieu 15 :9. Noël n’a pas été ordonné par Dieu, c’est une coutume païenne qui a été christianisé comme beaucoup d’autres.
Mais la religion est une affaire privée où chacun s’arrange avec sa conscience, en fêtant Noël « autrement » comme ils disent.

Publié dans Coutumes et traditions

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