Noël : son origine

Publié le par Pierre-Yves

Noël : son origine
Quelle est donc la véritable origine de Noël ?
Il faut remonter à Babylone, qui est le berceau de l’humanité.

Nimrod, le petit-fils de Cham qui est l’un des fils de Noé était le fondateur du système babylonien que le monde actuel continue de pratiquer.
Il a construit la tour de Babel, l’ancienne ville de Ninive ainsi que d’autres villes importantes de l’époque. Le nom de Nimrod est hébreu et vient du mot qui signifie « il s’est rebellé ».

Des écrits anciens racontent que Nimrod était si pervers qu’il se maria avec sa propre mère, Sémiramis. Après la mort précoce de Nimrod, Sémiramis propagea la doctrine diabolique de la résurgence de Nimrod en tant qu’esprit.

Elle prétendit qu’un arbre verdoyant était apparu du jour au lendemain, à partir d’un tronc d’arbre mort, ce qui symbolisait le retour de Nimrod sous une forme spirituelle.
A chaque anniversaire de sa naissance, elle prétendait que Nimrod venait sous cet arbre et y déposait des cadeaux.
Cet anniversaire était le 25 décembre : voici donc la véritable origine de la célébration de Noël, et du sapin.

Grâce à cette supercherie, Sémiramis fut peu à peu considérée comme la « Reine du Ciel » par les Babyloniens, et Nimrod, sous divers noms, devint le « Fils Divin du Ciel ».

Idolâtré pendant des générations, Nimrod fut aussi adoré comme le Messie, le Fils de Baal et le dieu Soleil.
Dans ce système babylonien, la « mère et l’enfant » (Sémiramis et Nimrod réincarné) devinrent les principaux objets d’adoration.

Cette adoration de la « mère et de l’enfant » se répandit dans le monde entier, bien que les noms utilisés étaient différents suivant les pays et les langues.
En Egypte, on les nommait « Isis et Osiris », en Asie, « Cybèle et Desius », dans la Rome païenne, « Fortuna et Jupiter ».
Mais même en Grèce, au Japon, en Chine et au Tibet, des chercheurs ont trouvé des répliques de la madone qui existaient de toute évidence déjà bien longtemps avant la naissance de Jésus-Christ.

Pendant les quatrième et cinquième siècles, les païens du monde romain qui acceptèrent par milliers « le christianisme », ont pu garder leurs vieilles coutumes et croyances païennes.

L’idée de la mère et de l’enfant devint aussi très populaire, particulièrement au moment de Noël. A cette occasion, les gens chantent l’hymne Douce Nuit, Sainte Nuit qui contient ce thème familier de la « mère et de l’enfant ».

Nous sommes nés dans un monde babylonien, et nous avons été élevés toute notre vie dans le respect de ces traditions qui sont prétendues sacrées.
Nous ne nous sommes jamais demandé si elles venaient de la Bible ou d’une idolâtrie païenne.

Il faut donc bien se rendre compte que l’origine réelle de Noël remonte à Babylone. Ceci est lié à une apostasie satanique organisée, qui touche maintenant le monde entier. En Egypte, on a toujours cru que le fils d’Isis (le nom égyptien de la « Mère du Ciel ») était né le 25 décembre.

Par conséquent, le paganisme a célébré ce fameux anniversaire bien des siècles avant que Christ ne soit né. Nul part dans la Bible il ne nous est dit d’adorer la mère et l’enfant ; les apôtres et la première église ne l’ont pas fait, pourtant, on trouve partout aujourd’hui des croyants qui considèrent qu’il est normal de célébrer la fête de Noël.

Luc 1 : 28, 42 et 48, présente Marie comme une femme bénie par Dieu, mais il n’a jamais été question de la déifier.
L’adoration de Marie en tant que « Mère de Dieu » est largement répandue, et le dogme de l’Immaculée Conception (qui nous la présente comme une médiatrice entre Dieu et l’homme) est une continuation de l’idolâtrie de l’ancienne Babylone introduite par Sémiramis, la femme de Nimrod.

C’est une tromperie satanique, qui détourne nos yeux de Jésus-Christ, le Seigneur ressuscité, qui est assis à la droite de Dieu. Il n’est plus un bébé désormais, il n’est pas non plus resté dans la tombe.

Ainsi, cet ancien « mystère » païen et idolâtre a été transmis à travers les religions païennes.

Publié dans Coutumes et traditions

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